Elisabeth Larivière
« Le temps de la peinture est pour moi celui de la quête intérieure. Il n’y a pas d’arrivée, pas de fin, pas d’autre but que cette quête même. En revanche, mon besoin de figurer, d’observer, d’être aux prises avec le motif, se traduit en dessins et estampes. Dans ma pratique, le dessin relève plus de l’ordre de la nature, alors que la peinture, de l’ordre de ce que l’on réinvente. »